Depuis 2009, plus de la moitié de l’humanité vit en ville. Selon les prévisions des Nations-Unies, deux personnes sur trois habiteront une ville, ou une zone urbaine, en 2050.
Le choix d’un lieu de vie dépend de nombreux facteurs :
Pourtant l’acte de se loger, essentiel et vital, dépend de la biodiversité, en même temps qu’il fait pression sur elle.
Construction des bâtiments, aménagement des quartiers, fonctionnement d’une ville... Sans biodiversité, les sociétés humaines ne pourraient pas se loger.
La crise sanitaire et les confinements imposés ont mis en valeur le rôle de la biodiversité dans le quotidien. Ils ont réaffirmé l’importance du cadre de vie, le besoin d’accès à un espace extérieur pour chacun, pour la santé, et renforcé les attentes en matière de confort et de surface habitable.
La présence de biodiversité aux alentours d’un logement va souvent de pair avec calme, possibilité d’activités physiques et d’interactions sociales. En ville, les espaces de nature sont sources de bien-être. Ils sont multiples : parcs, jardins, friches, étangs, mares, berges de rivières. Ils rendent une ville plus vivable, et procurent un cadre de vie plus agréable.