Dossier de presse « Tous réunis pour préserver la biodiversité »

En recul partout dans le monde sous la menace des importantes pressions anthropiques documentées par l’IPBES, la biodiversité est pourtant un équilibre du vivant qu’il nous faut préserver. Face à ce constat, la loi du 24 juillet 2019 a créé l’Office français de la biodiversité afin de doter l’État d’un opérateur consacré à la protection et à la préservation de la nature.

Agir pour préserver la biodiversité marine : l'Ifremer et l'OFB renforcent leur coopération par la signature d'un accord-cadre

Ce jeudi 11 mars 2021, l'Institut français de recherche pour l'exploitation de la mer – Ifremer, et l’Office français de la biodiversité – OFB, signent un accord-cadre d’une durée de 4 ans visant à renforcer leur partenariat.

Grands groupes, PME, TPE, elles sont plus de 100 entreprises à avoir fait le choix de s'engager en 2020

Au 31 décembre 2020, 103 entreprises françaises ont rejoint le programme « Entreprises engagées pour la nature - Act4Nature France ». Lancé en décembre 2019, celui-ci vise à faire émerger, reconnaître et valoriser des plans d'action en faveur de la biodiversité portés par des entreprises.

Liste rouge des espèces menacées en France : 13 ans de résultats qui soulignent l’urgence de la situation

A l’occasion de la Journée mondiale de la vie sauvage le 3 mars, le Comité français de l'UICN, le Muséum national d'Histoire naturelle et l'Office français de la biodiversité - organismes référents de la Liste rouge nationale des espèces menacées en France - partagent pour la première fois le bilan national de 13 années de résultats essentiels pour identifier les priorités d'actions, surveiller les évolutions et préserver les espèces. Une synthèse majeure pour découvrir l’état de santé de la faune et la flore de métropole et d’outre-mer.

Utilisation des pesticides : les règles à respecter par les particuliers

À la mi-février, la végétation redémarre après une période de mise en veille hivernale. De nombreux jardiniers amateurs sont alors tentés de se débarrasser des « mauvaises herbes », pourtant si précieuses à la biodiversité. Or, depuis le 1er janvier 2019, les particuliers ne peuvent plus acheter, stocker ou utiliser de produits phytopharmaceutiques de synthèse pour traiter ou désherber leur jardin.