Le nouveau plan de gestion du Sanctuaire Agoa est en cours d'élaboration. Il couvrira la période 2023 à 2037 et doit prendre en compte les espèces mais aussi le contexte environnemental et socio-économique de l'ensemble des territoires du Sanctuaire (les quatre îles des Antilles françaises et plus largement l'ensemble de la Caraïbe). Les acteurs locaux de la protection des cétacés doivent donc pouvoir s'exprimer dans ce cadre afin de bâtir un plan de gestion riche.

Dans le cadre de la mise en place du programme national de surveillance de la biodiversité terrestre, l’Office français de la biodiversité (OFB) lance un appel à manifestations d’intérêt pour cofinancer des projets permettant de développer la surveillance des espèces et habitats terrestres dans les Outre-mer.

En 2022, l’OFB, structure coordinatrice du programme Terres et Mers Ultra-marines (Te Me Um) ainsi que ses 12 structures partenaires, lancent un nouvel appel à projets en faveur de la biodiversité des outre-mer. Le programme Te Me Um accompagne les acteurs de la biodiversité des territoires ultra-marins français, favorise leur coopération et facilite la mise en œuvre d’actions locales pour la conservation de la biodiversité.

Du 29 janvier au 28 février, les zones humides sont mises à l’honneur dans toute la France. En Guadeloupe, le projet JA-RIV vise à protéger et restaurer la forêt marécageuse et la mangrove de Jarry.

Samedi 29 janvier une baleine à bosse s’est échouée dans le port de Californie en Martinique. Quelques jours auparavant, le 13 janvier, une autre baleine était signalée au Centre Opérationnel de Surveillance et de Sauvetage (CROSS), enchevêtrée dans un engin de pêche au large de la côte sous le vent de Guadeloupe. Si la baleine enchevêtrée en Guadeloupe a pu être délivrée grâce à l’action rapide des membres du réseau national échouage, celle de Martinique n’a pas pu être sauvée.

Il porte exclusivement sur l’action 27 « construire avec les outre-mer une agro-écologie axée sur la réduction de l’utilisation, des risques et des impacts des produits phytopharmaceutiques ». Ce volet est doté d’une enveloppe indicative de 600 000 euros.