A la fin des années 60, les ouvriers-paysans de l’industrie textile qui avaient façonné un paysage « jardiné » ont été contraint de chercher du travail à l’extérieur du territoire, abandonnant l’activité agricole. L’impact sur ce paysage montagnard et sa biodiversité s’est traduit par des plantations de résineux, l’apparition de friches autour et dans les villages, en fonds de vallée (Bruche et affluents) avec comme effet, un appauvrissement de la qualité des milieux le long de la rivière la Bruche.