Berangère Abba, secrétaire d’Etat chargée de la biodiversité, était en déplacement le 18 décembre à l’observatoire Pelagis de la Rochelle, unité mixte CNRS-Université de la Rochelle, spécialisée dans l’étude des mammifères marins et de la grande faune marine. A cette occasion, l’Office français de la biodiversité (OFB), Pelagis et l’Institut français de recherche pour l’exploitation de la mer (Ifremer) se sont engagés à renforcer la coopération pour mieux connaître les mammifères marins et les interactions avec les activités humaines, de pêche notamment.

Le programme GhostMed répond à une problématique environnementale majeure en Méditerranée : les engins de pêche perdus. Initié en 2015, ce programme permet de recenser les engins de pêche perdus et d'orienter les décisions de retrait. Porté par l'Institut Méditerranéen d'Océanologie (Aix-Marseille Université, Centre National de Recherche Scientifique (CNRS), Institut de Recherche pour le Développement (IRD)) dont l'Office français de la biodiversité (OFB) est partenaire depuis 2018, GhostMed vise également à analyser leurs impacts et aider à leur gestion.

Célébrée chaque année depuis 1992 à l’initiative de l’Organisation des Nations-Unies (ONU), le 3 décembre est la journée internationale des personnes handicapées. Plus que jamais, la nature apparait comme vitale à nos existences et au bien-être de tous. Mieux la connaitre, c’est aussi apprendre à la respecter. Depuis 2008, GMF et les parcs nationaux de France ont noué un partenariat de mécénat dont l’objectif est de faciliter l'accès aux territoires des 11 parcs nationaux de France à tous les publics, notamment les personnes en situation de handicap.

Un partenariat avec la revue Terre sauvage a donné naissance à une édition spéciale dédiée à la biodiversité et aux actions de l’OFB pour la préserver en métropole et en outre-mer.

Les agents de l'Office français de la biodiversité ont appuyé cet hiver les opérations de dénombrements d'oiseaux d'eau au Soudan, au Tchad et au Mali.

Quels besoins de connaissance pour agir et protéger le milieu marin ? Cette question de recherche mais aussi de société était au cœur de la journée de réflexions « Ensemble, protéger la biodiversité marine : connaître pour agir ».

Les deux établissements ont signé, mardi 25 février, un accord-cadre pour développer des connaissances, des méthodes et des outils communs afin de mieux accompagner les politiques publiques.