L’Office français de la biodiversité pilote et anime plusieurs centres de ressources (CDR) thématiques. Ces dispositifs collaboratifs visent à outiller et accompagner les acteurs de terrain dans la préservation et la restauration de la biodiversité, en facilitant l’accès aux connaissances, aux outils et aux retours d’expériences.

Qu'est-ce qu'un centre de ressources ?

Ils sont organisés autour de 3 moyens d'actions indissociables :

  • L’animation d’un réseau d’acteurs : évaluation des besoins, organisation de journées techniques, coordination de projets collectifs…
  • L’accompagnement technique : conseils, formations, mise en relation…
  • La production et la mise à disposition de ressources : méthodes, outils scientifiques et techniques, retours d’expériences, actualités etc.

Les 3 piliers des centres de ressources : Contribuer, s'informer, se former

Faire appel aux Centres de ressources, c’est contribuer en participant à un réseau de professionnels à travers des événements (comme des journées d’échanges techniques), la veille et la diffusion d’actualité, des trophées et prix, ainsi que des groupes de travail ; s’informer en s’appuyant sur des ressources techniques, méthodologiques et scientifiques de référence et d’actualité telles que des guides méthodologiques, des notes techniques, des retours d’expériences, des publications scientifiques et des supports de sensibilisation ; et se former en bénéficiant d’un accompagnement technique et de développement des compétences grâce à des webinaires, des formations, des outils de e-learning, ainsi qu’à des conseils et mises en relation avec des experts.

Faire appel aux Centres de ressources, c’est bien plus qu’accéder à des contenus techniques : c’est rejoindre une dynamique collective au service de la biodiversité. Ces dispositifs offrent aux professionnels et gestionnaires de la biodiversité, un espace pour contribuer à un réseau d’acteurs, s’informer grâce à des ressources techniques et scientifiques de référence, et se former par un accompagnement adapté et le développement de compétences. Ils favorisent ainsi le partage d’expériences, la diffusion des connaissances et le renforcement des pratiques au cœur des politiques publiques de biodiversité.