Les associations l’Œil d’Andromède et Mokarran Protection Society portent le projet Tamataroa dans le but d’approfondir les connaissances sur le grand requin-marteau. Les données récoltées permettront de définir des mesures de gestion durables et adaptées à la conservation de cet animal menacé d’extinction.

Dans le cadre de la 14e Conférence des Parties de la Convention sur la conservation des espèces migratrices, les États membres ont adopté plusieurs résolutions en faveur de la protection des espèces migratrices.

Dans le cadre d’un programme piloté par l’Initiative pour les Petites Iles de Méditerranée (PIM), deux opérations de dératisation ont été menées avec succès en septembre 2023.

L’Office français de la biodiversité (OFB) lance la deuxième phase de son cinquième Appel à Manifestations d’Intérêt (AMI) finançant ou co-finançant des suivis standardisés pour évaluer l’efficacité de mesures de gestion mises en œuvre au sein du réseau Natura 2000. Il fait suite à quatre AMI précédemment lancés.

Dans le cadre du nouveau jeu de grattage « Mission Nature », 20 projets de restauration de la biodiversité seront mis en œuvre. Retour sur le projet de restauration d'habitats de ponte naturels en faveur des tortues marines piloté par L’Asso-Mer.

Fin septembre 2023, une opération de suivi du Desman des Pyrénées a été mise en œuvre au sein de la Réserve nationale de chasse et de faune sauvage d’Orlu afin de mieux comprendre cette mystérieuse espèce.

Dans le cadre de l’appel à microprojets TeMeUm, la commune d’Anaa a fait appel au biologiste marin Matthieu Juncker pour collecter des données sur le Chevalier des Tuamotu. Pour mener à bien sa mission, il vivra pendant 8 mois, seul, sur un atoll inhabité.

Dans le cadre du nouveau jeu de grattage « Mission Nature », 20 projets de restauration de la biodiversité seront mis en œuvre. Retour sur le projet en faveur des herbiers de posidonies piloté par WWF France

Pour célébrer la journée mondiale du jaguar, l’OFB Guyane propose de mettre en lumière le travail de l’Unité Technique Connaissance et de ses partenaires autour du suivi de ce grand félin.

Treize ans après le premier bilan, l’actualisation de l’état de la flore vasculaire de l’île de La Réunion fait apparaître une situation très préoccupante, marquée par une forte aggravation : 41 % des espèces sont aujourd'hui menacées contre 30 % en 2010. Les connaissances sur le patrimoine végétal de l’île se sont significativement améliorées depuis cette date, mais les mesures de conservation déployées ne portent pas encore leurs fruits et ont besoin d’être renforcées.